Mort du pape : à genoux jusqu’à l’entorse ?29/04/20252025Journal/medias/journalnumero/images/2025/05/une_2961-c.jpg.445x577_q85_box-0%2C7%2C1265%2C1644_crop_detail.jpg

Leur société

Mort du pape : à genoux jusqu’à l’entorse ?

Le gouvernement, au diapason de Macron, avait demandé à ce que les drapeaux soient mis en berne sur les bâtiments publics le 26 avril pour les obsèques du pape François. Une telle décision n’est pas inédite. En 2005, le Premier ministre Raffarin l’avait imposée pour la mort de Jean-Paul II, et s’il n’y avait pas eu de réédition depuis, c’est que Benoît XVI, prédécesseur de François, avait quitté le poste vivant.

En 2005, Bayrou avait fait la moue, affirmant que cette manifestation de deuil national « ne correspond[ait] pas à la distinction qu’il faut faire entre convictions spirituelles et choix politiques et nationaux ». Il est vrai que Bayrou a, semble-t-il, la mémoire défaillante pour ce qui touche au petit personnel du Bon Dieu depuis quelque temps.

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