Ville de Paris : la gauche impose la précarité27/05/20252025Journal/medias/journalnumero/images/2025/05/une_2965-c.jpg.445x577_q85_box-0%2C7%2C1265%2C1644_crop_detail.jpg

Leur société

Ville de Paris : la gauche impose la précarité

Un enseignant de cours du soir, que la Ville de Paris emploie comme vacataire depuis 27 ans, vient d’obtenir du tribunal administratif la requalification de son contrat de travail en CDI, avec le rattrapage salarial que cela implique.

Déjà, en février, une employée de centre de loisirs dans la même situation depuis 13 ans avait également obtenu cette requalification. La Ville de Paris prétend qu’elle n’a « recours à des vacataires que pour des activités ponctuelles et discontinues ». La mairie se vante même de son plan qui aurait « déprécarisé un millier d’emplois » depuis 2022, plus probablement 600. Mais pour être « déprécarisés » ces deux travailleurs ont dû aller en justice !

Or la Ville de Paris emploie 15 000 vacataires, la plupart dans les écoles, dont, selon les syndicats, plus de la moitié occupent des emplois permanents, donc devraient être embauchés en CDI. Ce sont autant de travailleurs privés de congés payés, de droit aux arrêts maladie et autres droits normalement reconnus, mais qui sont maintenus pendant des années dans cette précarité par une mairie de gauche (PS- PCF-Verts).

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