Les commentateurs des médias ont été étonnés devant les foules immenses de pauvres qui, au Venezuela, ont accompagné les obsèques de Chavez.
Eh oui, Chavez était un président qui avait su attirer la sympathie des masses pauvres de son pays. Mais, comme en témoignait la présence de plusieurs dizaines de chefs d'État ou leurs représentants, il avait su tout aussi bien se faire accepter par les grands dignitaires de ce monde.
This is a modal window.
Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window.
End of dialog window.
Il n'y a pas de sauveur suprême, ni au Venezuela ni ailleurs