Leur société
Bétharram
Bayrou joue au naïf

Devant une commission d'enquête parlementaire sur les violences subies au collège-lycée privé catholique Bétharram, Bayrou a encore nié avoir été au courant des sévices qui y ont eu cours durant des décennies et qui ont fait des centaines de victimes. Il a prétendu qu’une enseignante, un juge et un gendarme, qui ont témoigné l’avoir mis au courant, affabulaient.
Bayrou est bien représentatif de ces notables qui entretiennent l'omerta protégeant les auteurs d’agressions et la réputation de ce type d'établissement connus pour leur discipline de caserne et la transmission des idées les plus réactionnaires.