aux bourgeois de la rembourser !

Dans son intervention, Bayrou a invoqué comme bien d'autres avant lui les 3 300 milliards d’euros de dette pour justifier les sacrifices supplémentaires qu’il entend imposer aux classes populaires.

Mais cette dette n'a rien d'une « malédiction » ! Depuis des décennies, l'État s'endette pour financer à fonds perdu les grandes entreprises et leurs actionnaires. Quant aux banques qui prêtent à l'État, elles s'engraissent avec les taux d'intérêts qu'elles perçoivent.

Pas question d'accepter de payer pour ces parasites ! Préparons-nous à leur faire rendre gorge !