Dans les entreprises
Renault
losange de la mort

Dans une note interne au personnel, Renault prépare les esprits à tourner l’activité du groupe automobile vers la production militaire.
Au nom de la « souveraineté nationale » et sous l’égide du ministère des Armées, les patrons de Renault font miroiter un « complément d’activité » pour ses sites en France, en n’omettant pas de faire valoir qu’il s’agit d’une « opportunité économique rentable ».
De la construction envisagée de drones pour les armées ukrainienne et française à la fourniture d’engins roulants demain, comme ce fut le cas lors des guerres du siècle passé, Renault entend rester dans son « cœur de métier » : celui du profit avant tout.