Brève
Rennes (35)
Une jeunesse populaire à l’abandon

Selon une enquête réalisée auprès de 42 056 étudiants des universités rennaises, plus d’un tiers manifeste des symptômes de détresse psychologique. Ce taux monte à 48,5 % pour les étudiants d’origine sociale populaire.
12 % d’entre eux ne mangent pas à leur faim et 50% travaillent. Résultat, les étudiants d’origine populaire disparaissent quand le niveau d’études s’élève.
Des inégalités de classe révoltantes.