La chute de Bayrou, qu’aucun travailleur ne regrettera, a remis les cartes dans les mains de Macron. Allait-il nommer un énième Premier ministre ou dissoudre l’Assemblée nationale ? Cette situation met le monde politicien en ébullition, mais pour les travailleurs, elle ne change rien de fondamental.
Même si l’on arrivait sur de nouvelles élections, comme le demandent le RN ou LFI, et qu’il en sorte un gouvernement de gauche ou d’extrême droite, les travailleurs continueront de recevoir des coups.